Fabrice Eulry joue à Rome, pour plusieurs concerts où sont rassemblés les pensionnaires de plusieurs maisons de retraite avec leur proches. Une tournée bien organisée par son président Gianluca, avec des pianos à queue bien accordées et un public toujours aussi vivant qui sait comme toujours, écouter et manifester à la fois… « Complimenti ! »
Au premier concert dans le quartier de Trastevere, c’est le prélude II de Bach (avec variations boogie) et le Vol du bourdon qui ont emporté le plus de bravissimo ainsi que La foule, et La vie en rose que les Romains ont repris en choeur.
Au Deuxième concert à San Bernardo, les bravissimo sont allés à La valse de l’adieu et ses variations, et Les Yeux noirs, mais…
…Mais Fabrice Eulry n’a pas su s’arrêter, après le concert, les résidents partis dîner sont revenus un par un, entendant…
… qu’il s’était remis à l’instrument, dans un répertoire lent, ils se mirent à danser, ou à lui demander des titres, qu’il joua volontiers. Venu pour une heure et demie, il passa finalement trois heures au piano.