Pour ceux qui ne sont pas encore abonnés aux vidéos de Fabrice Eulry, voici quelques nouvelles publications :
Tout d’abord Fabrice Eulry & The Rolling twisters dans : C jam twist, au festival de Trivy 2022 :
Ensuite la version courte de Fabrice Eulry à l’Olympia (où figure des extraits exempts de la version longue). En outre, si les deux vidéos de l’Olympia, même la version longue, peuvent générer quelques frustrations, il faut savoir que l’Olympia, au delà de ces quelques minutes, demandait 6000€ en 2015 pour l’autorisation de tournage illimitée, somme que pouvait encore amortir une vente massive de dvd il y a 15 ans, mais que en 2015, même une souscription bien ciblée ne garantissait déjà plus, la mode étant déjà d’avantage aux R.S.
En résumé l’évolution du mécanique vers le virtuel a eu beau permettre d’avantage d’accessibilité et de gratuité pour le public, la propriété du son et des images n’a pas disparu, ce sont juste les rapports de production (et donc les rapports de force) qui ont changé, car il y a toujours en bout de chaîne :
1° Des personnes qui payent et d’autres qui travaillent (sauf que maintenant ce sont souvent les mêmes c’est à dire les artistes, voilà c’est dit).
2° D’autres qui essaient de palper autant qu’avant (péagiers-intermédiaires) alors que le public a la possibilité de ne plus payer, et qui n’ayant pas assez adapté leurs prétentions à taxer, ces intermédiaires rendent parfois les beaux projets impossibles. Donc en ce qui concerne l’Olympia, entre l’établissement qui ne veut rien lâcher, et le public qui a perdu l’habitude de payer des phonogrammes, il en résulte qu’il n’y a… AUCUNE TRACE !… Ou presque, puisque il y a ces petites vidéos, qui sont donc d’autant plus précieuses à visionner !