Ricky Norton et Fabrice Eulry ont animé la soirée du 26 mai au Petit-journal St Michel. Pendant que le gros public gobait avec ennui la grand messe électorale et son cortège de vains discours à la téloche, d’autres avaient décidé d’échapper à ce désoeuvrement, venant passer un moment authentique en écoutant les deux complices.
Beaucoup de fans d’Elvis lors de cette soirée spéciale au Petit-journal St Michel, plus connu pour honorer la musique de la Nouvelle-Orléans…
Mais qu’à cela ne tienne, les deux compères entre deux anecdotes sur le monde du Rock’nroll…
en ont profité pour reprendre quelques morceaux de King créole, fils d’Elvis empreint de rock’n roll certes , mais à la sauce louisianaise, très épicée !
Paru dans Soul bag magazine, cette chronique du disque Twistin’ at Ray’s écrite par André Hobus, traduite du flamand par le Canard du pianiste.
« C’est une surprise totale, même compte tenu de l’éclectisme de Fabrice Eulry, son goût pour la pop et son implication subtile à trouver des compromis entre les genres.
Ce CD instrumental est richement orchestré dans le style de la musique de film des années 60. Je pense à John Barry, Herb Alpert ou surtout, Henri Mancini (La Panthère rose) Sur d’autres pièces, on retrouve Floyd Cramer (pianiste d’Elvis).
La signature musicale Fabrice Eulry est cependant omniprésente, tant on sent ses grondantes notes de basse toujours aller crescendo.
C’est un CD remarquable sous une forme attrayante, avec les pas de danse sur le twist et le madison comme jadis. Autre remarque, Ricky Nye est co-producteur de ce disque enregistré à Cincinnati .
Superbe ! »
André Hobus
Sorti en magasin l’été dernier aux Etats-unis, ce disque en hommage à Ray Charles est disponible en France !
Vous pouvez déjà le commander en version cd ou en numérique sur ce site ! Sur la boutique de
http://www.fabriceeulry.com en cliquant sur ce lien :http://www.fabriceeulry-laboutique.com/fr/albums-cd/256-twistin-at-ray-s.html
le répertoire de ce disque n’est pas axé sur le répertoire de Ray Charles mais sur le son d’une des directions musicales qu’il a prises.
Il comprend des compositions de Fabrice Eulry, (Isabelle Madison, You’ll never twist alone un morceau sifflé) des reprises de traditionnels américains (Swanee river) des reprises du pianiste Ken Jones (Blusesville) ou de Floyd Cramer (On thé rebond) le tout orchestré par Fabrice Eulry ou Ken Jones (arrangements de 1960 relevés 2002 par Jean-Claude Naude) pour un orchestre d’une douzaine de musiciens, suivant les morceaux : 4 trompettistes, 4 trombonistes dont Marc Fields
tromboniste de Ray Charles, piano, contrebasse, batterie, guitare, et parfois vibraphone.
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