600 AUDITEURS POUR L’HOMMAGE À RAY CHARLES

Les amis de Blues en Aveyron a fait un battage des plus efficaces dans les journées qui ont précédé les deux concerts.

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Le reportage du bulletin d’Espalion :

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Celui de la gazette du Nayrac :

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Sur la photo du bas Fabrice Eulry joue sur le piano Wurlitzer (piano électro-acoustique du même modèle que celui sur lequel Ray Charles a enregistré What’d I say) et accompagne Fred Bonnet (à droite) qui a fait un travail colossal pour forger ce grand orchestre.

Un album-hommage à Ray Charles :

   Paru dans Soul bag magazine, cette chronique du disque Twistin’ at Ray’s écrite par André Hobus, traduite du flamand par le Canard du pianiste.

   « C’est une surprise totale, même compte tenu de l’éclectisme de Fabrice Eulry, son goût pour la pop et son implication subtile à trouver des compromis entre les genres.  

   Ce CD instrumental est richement orchestré dans le style de la musique de film des années 60. Je pense à John Barry, Herb Alpert ou surtout, Henri Mancini (La Panthère rose) Sur d’autres pièces, on retrouve Floyd Cramer (pianiste d’Elvis).

  La signature musicale Fabrice Eulry est cependant omniprésente, tant on sent ses grondantes notes de basse toujours aller crescendo.

  C’est un CD remarquable sous une forme attrayante, avec les pas de danse sur le twist et le madison comme jadis. Autre remarque, Ricky Nye est co-producteur de ce disque enregistré à Cincinnati .

  Superbe  ! »

André Hobus

Sorti en magasin l’été dernier aux Etats-unis, ce disque en hommage à Ray Charles est disponible en France !

Vous pouvez déjà le commander en version cd  ou en numérique sur ce site ! Sur la boutique de 

http://www.fabriceeulry.com 

   le répertoire de ce disque n’est pas axé sur le répertoire de Ray Charles mais sur le son d’une des directions musicales qu’il a prises.

   Il comprend des compositions de Fabrice Eulry, (Isabelle Madison, You’ll never twist alone un morceau sifflé) des reprises de traditionnels américains (Swanee river) des reprises du pianiste Ken Jones (Blusesville) ou de Floyd Cramer (On thé rebond) le tout orchestré par Fabrice Eulry ou Ken Jones (arrangements de 1960 relevés  2002 par Jean-Claude Naude) pour un orchestre d’une douzaine de musiciens, suivant les morceaux : 4 trompettistes, 4 trombonistes dont Marc Fields

 tromboniste de Ray Charles, piano, contrebasse, batterie, guitare, et parfois vibraphone.

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