« Le neurologue Pierre Lemarquis a publié « L’empathie esthétique, entre Mozart et Michel-Ange » aux éditions Odile Jacob, livre qui démontre que l’art devrait être remboursé par la Sécu. En effet, la Beauté d’une œuvre provoque la sécrétion de neuro-transmetteurs du bien-être, un vrai cocktail de vitalité : la dopamine, ce stimulant du désir, les endomorphines qui apaisent la douleur, l’adrénaline qui renforce l’énergie mais aussi la sérotonine, à l’action anxiolytique. Bref, la Beauté de l’art serait un antidépresseur sans effets secondaires ravageurs… L’Art pourrait non seulement nous conduire à l’extase, mais certains spectacles effrayants pourraient s’avérer bénéfiques, grâce aux vertus cathartiques de la représentation, ce qu’Aristote notait déjà à propos du théâtre.
Mais la science du neurologue s’arrête là, n’ayant pas encore intégré, qu’aujourd’hui, tout ce qui porte le nom d’art peut revêtir des natures différentes voire antagonistes… »
Lire la suite sur le blogue de Christine Sourgins
auteur de :
Cliquez sur l’image
Démarche pour tenter d’émouvoir par la beauté en musique : Concerto en DO# mineur – Fabrice Eulry