Barrère
« Le vaisseau de la révolution ne peut arriver à bon port que sur une mer rougie de flots de sang. »
Saint-Just « C’est vrai ! Une nation ne se régénère que sur des monceaux de cadavres. »
(Propos rapportés par Joachim Vilate, juré au tribunal révolutionnaire, témoin des propos lors d’un dîner pris le lendemain du procès de Marie-Antoinette)
Le premier massacre de masse planifié administrativement depuis le pouvoir central n’est mentionné que peu ou prou dans les manuels d’histoire.
Pourtant les génocides qui sévissent depuis deux cent ans se sont tous référés au Populicide vendéen.
Alors pourquoi l’occulter si l’on prétend sincèrement tout mettre en oeuvre pour ne pas réactiver les causes des génocides que l’on commémore tout au long de l’année ?
(massacre de Marie-Anne Chenuau 1794 – Vitrail de Saint-Mars la Réorthe)
A la différence des manuels qui suivent les directives du ministère désirant focaliser l’enseignement sur tel ou tel point de la mémoire en imposant une interprétation des faits qui va dans dans son sens, les historiens travaillent, entre autres, à partir des archives, c’est à dire sur la réalité des faits, ou du moins sur la réalité de ceux qu’il nous est possible de connaître. Et même si les historiens ont chacun leur sensibilité, leur démarche est déjà plus digne de notre confiance qu’une administration marquée d’idéologie.
Comment des chênes sauvèrent des familles du massacre (cliquez sur l’image)
Bien entendu, bon nombre des historiens édités sont des chercheurs payés l’Etat, et n’ont pas intérêt pour leur carrière personnelle, à sortir des clous, surtout lorsqu’ils travaillent sur des périodes « sensibles » pour lesquelles l’histoire officielle via les média, impose un récit unique.
D’autres, sont rétribués par des organismes privés, et non moins orientés dans leur recherche.
Mais dans l’ensemble beaucoup méritent notre estime pour leur travail, de surcroît lorsqu’ils sont indépendants, à leur compte et uniquement mus par un amour de la vérité. Amour insatiable, tant il ne peut y avoir d’Histoire définitive, mais seulement des éclairages sur l’Histoire.
En voici un qui mérite d’autant notre attention qu’il illumine une partie de l’Histoire de France occultée à dessein, depuis deux cent ans.
cliquez sur l’image pour écouter la conférence : « Au nom du peuple ? »
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