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Montrer une alternative à l’Art contemporain
Martial Raysse perça dans les années 60 avec le Nouveau Réalisme, puis revint à une peinture figurative moins « pop », dans les années 70 ; s’en suivit une traversée du désert médiatique jusqu’à ce que François Pinault s’intéresse à lui. Le méga collectionneur, après avoir largement contribué à l’exposition de Raysse au centre Pompidou l’an passé, lui offre, en 2015, l’intégralité de son Palazzo Grassi de Venise. La presse entonne les louanges du « plus grand peintre vivant français ». C’est gentil pour les autres mais ce genre de formule doit inciter à la méfiance car la flatterie pourrait cacher, derrière l’arbre Rayssien, la déforestation de la scène picturale française.
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Concerto en DO# mineur – Fabrice Eulry
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