Ce musée imaginaire est un projet d’amateurs d’art et collectionneurs qui se souviennent d’André Malraux… pour agir contre la diffamation qui frappe aujourd’hui la peinture (et la sculpture…).
Actuellement, l’histoire et la critique d’art sont prisonnières des empires médiatiques et mercantiles, pour leur redonner un peu de liberté et de poésie, l’idée de demander asile à Orélie de Tounens, roi de Patagonie, m’a paru pertinente. Puisque les peintres vivent en exil, par décision des bureaucrates et financiers réunis, le Royaume de Patagonie leur offre «l’asile onirique », la suite des explications est sur le site…
Nous inaugurons la première salle de ce « musée » et, déjà, celle-ci montre combien d’artistes différents les uns des autres peuvent exister hors du système de l’AC. Le Musée grandira, à son rythme, hors des contraintes de la rentabilité : en « Patagonie », tout le monde est bénévole.