« En cette rentrée 2014, l’artiste américaine Lana Newstrom pense, du haut de ses 27 ans, avoir l’idée de génie du siècle en vendant… de l’invisible ?
Pour voir l’invisible cliquez ici. Ses premières expositions ayant eu peu de succès, elle s’avise de ne rien faire mais de le faire savoir. Son expo cartonne, avec le soutien de son galiériste : 4 oeuvres vendues pour plus de 35000 $ chacune. De l’art interactif qui obtient du spectateur ce que voulait Duchamp qui disait « ce sont les regardeurs qui font les tableaux » ? Et qui réalise le rêve de l’hyper finance : vendre le néant à prix d’or ? Un observateur en conclut qu’il est plus facile de critiquer quand on peut voir l’oeuvre… autrement dit, le vide, lui, prête peu le flanc à la critique : quel serait un « mauvais vide » ? Un néant défectueux ? Un rien erroné ? Contrairement aux apparences, il est possible que Paris ait eu la primeur d’un néant monumentalement raté…. «
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