Deux mois après la salle comble de Bozar où Fabrice Eulry avait donné la première de son Concerto n°3 « supersonique »,
c’est pour un récital que le Whalll recevait le « Chopin du boogie ».
Le programme annonçait de Bach à Hendrix…
L’éclectisme fut donc à l’honneur, et le répertoire de circonstance également avec notamment quelques adaptations sur le répertoire de Noël, et surtout, à la demande du public belge, toujours plein d’humour, une improvisations sur… Les Gilets jaunes !!!
Où le pianiste évoqua le chaos en mélangeant le « Ah! si j’étais riche », La Marseillaise, l’Internationale, la Carmagnole, les chants patriotiques, les explosions et les sirènes de police, avec son seul piano.