Blagues à part et pingres exceptés, heureusement que des restaurateurs pourtant écrasés de taxes prennent le risque d’engager des musiciens, sans cela la majorité d’entre eux n’auraient pas de couverture sociale ni d’indemnité chômage, et pour s’exprimer la seule la rue et les procès verbaux que désormais on récolte à s’y produire.
Mais nous ne résistons pas à publier cette annonce et sa réponse cocasse que nous envoie Christine A. fidèle lectrice du Canard.
Fabrice Eulry